X

Vers les sites pays

France
onet.fr
Luxembourg
onet.lu
Espagne
onet.es
États-Unis
epm-inc.com

Point d’étape sur le projet scientifique de Fabrice Amedeo soutenu par Onet

Après de nombreux milles à échantillonner nos océans grâce aux capteurs embarqués financés par Onet, dernière ligne droite avant de connaître les résultats des analyses réalisées par les partenaires scientifiques de Fabrice Amedeo ! Découvrez les coulisses du projet.

Comment Onet s’engage aux côtés de Fabrice Amedeo dans la protection des Océans ?

Onet a décidé de soutenir le skipper dans le financement de capteurs embarqués sur le bateau. Ils sont composés de différents modules, qui permettent de recueillir des données sur la salinité de l’eau, son taux de Co2 ou encore la teneur en phytoplancton de nos océans. Ces données sont d’une ampleur inédite, car collectées au large, dans des endroits où les bateaux scientifiques passent une fois tous les 10 ans. Ces analyses seront d’une aide conséquente pour modéliser les évolutions du climat et étudier le niveau de pollution des océans, et ainsi préserver la biodiversité.

 

Que deviennent les échantillons de microplastiques récoltés en mer ?

Après avoir visité les laboratoires où sont analysés les microplastiques qu’il récolte lors des courses au large, Fabrice Amedeo a rendu visite aux scientifiques de l’Université de Bordeaux, de l’Ifremer et de l’IRD avec qui il collabore depuis plus de deux ans dans le cadre de son projet scientifique.

Aider la recherche en matière de pollution microplastiques des océans.

 

Les capteurs océanographiques installés à bord de son IMOCA avec le soutien d’Onet, permettent, entre autres, de récolter des échantillons de microplastiques lors des courses au large auxquelles participe Fabrice. Une fois de retour à terre, ces échantillons sont ensuite répartis entre l’Ifremer et l’Université de Bordeaux afin d’être analysés.

 

 

C’est ce travail de l’ombre que le skipper est venu découvrir, il témoigne :

J’ai troqué mon ciré contre une blouse blanche le temps d’une journée durant laquelle j’ai pu visiter les laboratoires où sont analysés nos échantillons. L’idée était de suivre le cheminement d’un filtre microplastiques entre son arrivée à Bordeaux et la publication des résultats de l'étude qui ne devrait pas tarder concernant les échantillons récoltés pendant le Vendée Globe.

Ce point d’étape avant la communication des résultats a permis à Fabrice Amedeo de rendre le travail effectué en mer plus concret. En effet, le protocole mis en place en mer avec les capteurs demande beaucoup de temps, d’énergie et de compromis au skipper pour conjuguer performance sportive et engagement pour la préservation des océans.

 

Pour la bonne cause, Fabrice Amedeo, continuera à mettre son bateau au service de la science sur les prochaines courses de la saison : la Vendée-Arctique-Les Sables d’Olonne en juin et la Route du Rhum en novembre.